Stéphane a dit :
[quote]L'Aberlour c'est vrai que c'est plutôt du poids lourd pour moi, pas vraiment fondu, très boisé et épicé et alcooleux. Pour notre alliance avec le confit il est clair que tout le monde a trouvé que ça "détonnait" pas mal, mais globalement passées les 2/3 premières gorgées, la plupart ont apprécié.
Club de dégustation Metz / Moselle
Modérateur : Modérateurs
Je reprends.
Cela dit la bouteille n'est pas entamée depuis très longtemps, et il en reste pas mal. Je maintiens qu'à la longue ce côté alcooleux s'atténue, tandis que le goût vire sur le malt avec des relents de miel. La finale reste toutefois courte, et c'est clair qu'on est loin du Benrinnes. Mais somme toute, il n'est pas si mauvais, et mérite peut-être mieux que de finir en "carburant à crevettes".
Cela étant, Alain, inutile de rallier Georges pour me refiler vos fonds de bouteille, non mais sans blague !
C'est vrai, c'est un whisky alcooleux, et tout particulièrement celui qu'on a goûté. Pour ce qu'il m'en souvient, c'est surtout le sherry qui ressortait, Et peut-être le côté épicé.Stéphane a écrit :
"L'Aberlour c'est vrai que c'est plutôt du poids lourd pour moi, pas vraiment fondu, très boisé et épicé et alcooleux. Pour notre alliance avec le confit il est clair que tout le monde a trouvé que ça "détonnait" pas mal, mais globalement passées les 2/3 premières gorgées, la plupart ont apprécié. "
Cela dit la bouteille n'est pas entamée depuis très longtemps, et il en reste pas mal. Je maintiens qu'à la longue ce côté alcooleux s'atténue, tandis que le goût vire sur le malt avec des relents de miel. La finale reste toutefois courte, et c'est clair qu'on est loin du Benrinnes. Mais somme toute, il n'est pas si mauvais, et mérite peut-être mieux que de finir en "carburant à crevettes".
Cela étant, Alain, inutile de rallier Georges pour me refiler vos fonds de bouteille, non mais sans blague !
Il y a pire que d'être considéré comme "carburant à crevettes", on pourrait imaginer un "poulet aux hormones au whisky" (car ce serait dommage de gâcher une dinde ... ). Malgré tout je maintiens mon appréciation : quitte à boire une boisson alcoolisée, autant prendre de l'alcool à 45% et rajouter un trait de menthe ou de kirsch dedans. Au moins on ne paiera pas la taxe sécu.crimor57 a écrit :Mais somme toute, il n'est pas si mauvais, et mérite peut-être mieux que de finir en "carburant à crevettes"
Alain
Après un long moment de silence sur le forum. . . . Les gars, je vous trouve médisants ! Le 16 ans d’Abelour est pas si dégeux que ça.
Non, en remplaçant les crevettes par un bon fuseau Lorrain ça passe sans problème !!
En parcourant les denier Topics je m’aperçois avec stupeur d’un message de Stéphane ; « sont pas trop verbose les autres dégustateurs »
Donc voilà ;
LAPHROAIG ONE SHOT
JEAN BOYER
1998 – 2006
46%
06/06/2006 :
Tiens donc, avec un nom pareil on s’attend à prendre un LooKick double salto arrière en pleine poire façon Vandamme. . . . .
Verdict. . . . . . . . Même pas mal !!!
Le nez en promet des choses, ample, marin comme pas deux, tourbe, fumée, réglisse, un Laphroaig quoi !
Là où ça se corse c’est en bouche. . . . Pour paraphraser Brassens ; « Le surnom d’infâme lui va comme un gant ! » et j’ajouterais même « d’avec mes sensations gustatives, il a foutu le camp !!! ».
Une bouillasse innommable qu’a fini dans l’évier (on a pas oser le balancer par la fenêtre, pour les rosiers d’Alain. . . Et la carrosserie des voisins !), j’en ai presque eu peur pour l’émaille de mes dents !
On va dire que ça reste un truc à éviter. . . .
50/100
*********************************************************
ABERLOUR 16 ANS
43%
Un bien beau flacon dans le pur style Aberlour. . .
La première impression laisse flotter un alcool dur nous faisant friser nos poils de nez !
Influence d’un séjour sur les rives du Mont Sherry . . . . (Elle était facile celle là !), légère amertume sur les amandes vertes puis ça part sur les céréales, les biscuits genre petits beurre et la cerise confite.
En bouche, c’est du costaud, mais ça reste appréciable. L’alcool le rend piquant, puis elle s’ouvre pour laisser entrevoir ses notes maltées et de fruits secs (amandes, noisettes).
Une finale moyenne faite d’une pointe mentholée, d’une légère amertume et de fruits secs.
75/100
*********************************************************
MORTLACH 15 ANS
Gordon & MacPhails
40%
La couleur sent un peu l’entourloupe, chose fréquente chez Gordon & MacPhails. Ce qui est dommage avec ce genre de produit c’est qu’on sait à l’avance qu’on a affaire avec du dénaturé. . . . Ce qui explique en partie le succès des Whiskies non filtrés à froid. . .
Mais bon, bref !
Le nez s’étend sur les agrumes (tarte au citron) et se lance sur des relents floraux.
Une attaque assez douce, tranquille, puis de belles notes boisées amplifiées par les notes d’amandes et de vanille . . . . Et on fait suivre tout ça par un côté végétal tirant sur la fougère !
On reste quand même dans un registre bien classique.
La finale est moyenne et reste dans le prolongement de la bouche (boisée, végétale).
Sur le rapport qualité / prix on ne s’y retrouve pas !
78/100
*********************************************************
STRATHISLA 12 ANS
43 %
Le verre fumé de la bouteille nous fait languir sur le contenu (à noter que le contenant présente bien).
De suite le nez dévoile ses notes de Sherry et d’agrumes (citron, pamplemousse) puis de vanille et d’amandes grillées.
La bouche est assez carrée et confirme le nez ; malt, agrumes, Sherry. . . . On se permet quand même une petite fantaisie sur les abricots qui n’est pas pour nous déplaire !!!
Une finale moyenne mais très plaisante avec de belles notes de malt et de réglisse, à cela ajoutez une pointe de fumée.
Là par contre côté rapport qualité / prix on y est !!!
78/100
*********************************************************
BENRINNES 15 ANS
Flora & Fauna
43%
Une des grandes découvertes de la soirée !!!
Sous son air qui ne paye pas de mine (c’est toujours comme ça !) se cache un excellent whisky.
Le nez est suave, complexe s’étendant lentement à travers ses notes d’agrumes (orange, citron), le Sherry sait se faire discret tout en faisant savoir qu’il est maître à bord ! Un chouya fumé avec ça, puis de magnifiques effluves boisés (sous-bois) de pâte d’amande et de miel d’acacia.
Une attaque allant crescendo puis une bouche ronde et charnue ; toujours le binôme Sherry / agrumes (on ne change pas une équipe qui gagne) le tout rehaussé par ces exhalaisons d’été (noisettes, amandes. . .)
Une finale longue, chaude, toute en finesse, sachant flatter les palais les plus délicats avec ses relents de praline, de bonbons au miel et de Toffees.
Pour qui se souvient de cette vieillerie publicitaire ;
« Elle a tout d’une grande . . . . ! »
90/100
Non, en remplaçant les crevettes par un bon fuseau Lorrain ça passe sans problème !!
En parcourant les denier Topics je m’aperçois avec stupeur d’un message de Stéphane ; « sont pas trop verbose les autres dégustateurs »
Donc voilà ;
LAPHROAIG ONE SHOT
JEAN BOYER
1998 – 2006
46%
06/06/2006 :
Tiens donc, avec un nom pareil on s’attend à prendre un LooKick double salto arrière en pleine poire façon Vandamme. . . . .
Verdict. . . . . . . . Même pas mal !!!
Le nez en promet des choses, ample, marin comme pas deux, tourbe, fumée, réglisse, un Laphroaig quoi !
Là où ça se corse c’est en bouche. . . . Pour paraphraser Brassens ; « Le surnom d’infâme lui va comme un gant ! » et j’ajouterais même « d’avec mes sensations gustatives, il a foutu le camp !!! ».
Une bouillasse innommable qu’a fini dans l’évier (on a pas oser le balancer par la fenêtre, pour les rosiers d’Alain. . . Et la carrosserie des voisins !), j’en ai presque eu peur pour l’émaille de mes dents !
On va dire que ça reste un truc à éviter. . . .
50/100
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ABERLOUR 16 ANS
43%
Un bien beau flacon dans le pur style Aberlour. . .
La première impression laisse flotter un alcool dur nous faisant friser nos poils de nez !
Influence d’un séjour sur les rives du Mont Sherry . . . . (Elle était facile celle là !), légère amertume sur les amandes vertes puis ça part sur les céréales, les biscuits genre petits beurre et la cerise confite.
En bouche, c’est du costaud, mais ça reste appréciable. L’alcool le rend piquant, puis elle s’ouvre pour laisser entrevoir ses notes maltées et de fruits secs (amandes, noisettes).
Une finale moyenne faite d’une pointe mentholée, d’une légère amertume et de fruits secs.
75/100
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MORTLACH 15 ANS
Gordon & MacPhails
40%
La couleur sent un peu l’entourloupe, chose fréquente chez Gordon & MacPhails. Ce qui est dommage avec ce genre de produit c’est qu’on sait à l’avance qu’on a affaire avec du dénaturé. . . . Ce qui explique en partie le succès des Whiskies non filtrés à froid. . .
Mais bon, bref !
Le nez s’étend sur les agrumes (tarte au citron) et se lance sur des relents floraux.
Une attaque assez douce, tranquille, puis de belles notes boisées amplifiées par les notes d’amandes et de vanille . . . . Et on fait suivre tout ça par un côté végétal tirant sur la fougère !
On reste quand même dans un registre bien classique.
La finale est moyenne et reste dans le prolongement de la bouche (boisée, végétale).
Sur le rapport qualité / prix on ne s’y retrouve pas !
78/100
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STRATHISLA 12 ANS
43 %
Le verre fumé de la bouteille nous fait languir sur le contenu (à noter que le contenant présente bien).
De suite le nez dévoile ses notes de Sherry et d’agrumes (citron, pamplemousse) puis de vanille et d’amandes grillées.
La bouche est assez carrée et confirme le nez ; malt, agrumes, Sherry. . . . On se permet quand même une petite fantaisie sur les abricots qui n’est pas pour nous déplaire !!!
Une finale moyenne mais très plaisante avec de belles notes de malt et de réglisse, à cela ajoutez une pointe de fumée.
Là par contre côté rapport qualité / prix on y est !!!
78/100
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BENRINNES 15 ANS
Flora & Fauna
43%
Une des grandes découvertes de la soirée !!!
Sous son air qui ne paye pas de mine (c’est toujours comme ça !) se cache un excellent whisky.
Le nez est suave, complexe s’étendant lentement à travers ses notes d’agrumes (orange, citron), le Sherry sait se faire discret tout en faisant savoir qu’il est maître à bord ! Un chouya fumé avec ça, puis de magnifiques effluves boisés (sous-bois) de pâte d’amande et de miel d’acacia.
Une attaque allant crescendo puis une bouche ronde et charnue ; toujours le binôme Sherry / agrumes (on ne change pas une équipe qui gagne) le tout rehaussé par ces exhalaisons d’été (noisettes, amandes. . .)
Une finale longue, chaude, toute en finesse, sachant flatter les palais les plus délicats avec ses relents de praline, de bonbons au miel et de Toffees.
Pour qui se souvient de cette vieillerie publicitaire ;
« Elle a tout d’une grande . . . . ! »
90/100
Osez, usez et abusez. . . .
- Moi - 30 ans après moi !
- Moi - 30 ans après moi !
C'est vrai, au moins le goût du fuseau masquera celui de l'Aberlour 16 ans !Eliphas a écrit :Après un long moment de silence sur le forum. . . . Les gars, je vous trouve médisants ! Le 16 ans d’Abelour est pas si dégueux que ça.
Non, en remplaçant les crevettes par un bon fuseau Lorrain ça passe sans problème !!
A mon tour de te paraphraser : Je te trouve bien médisant à propos du Laphroaig One Shot. Le Laphroaig est pas si dégueux que ça.Eliphas a écrit : LAPHROAIG ONE SHOT
JEAN BOYER
1998 – 2006
46%
06/06/2006 :
Tiens donc, avec un nom pareil on s’attend à prendre un LooKick double salto arrière en pleine poire façon Vandamme. . . . .
Verdict. . . . . . . . Même pas mal !!!
Le nez en promet des choses, ample, marin comme pas deux, tourbe, fumée, réglisse, un Laphroaig quoi !
Là où ça se corse c’est en bouche. . . . Pour paraphraser Brassens ; « Le surnom d’infâme lui va comme un gant ! » et j’ajouterais même « d’avec mes sensations gustatives, il a foutu le camp !!! ».
Une bouillasse innommable qu’a fini dans l’évier (on a pas oser le balancer par la fenêtre, pour les rosiers d’Alain. . . Et la carrosserie des voisins !), j’en ai presque eu peur pour l’émaille de mes dents !
On va dire que ça reste un truc à éviter. . . .
Certes la première dégustation est remarquablement décrite, mais une discussion avec Régis (qui nous a envoyé ce sample, merci Régis) me disant que le voyage avait dû le fatiguer et une dégustation plus tard, il (re)devient un véritable jeune Laphroaig, digne d'intérêt.
Alain
-
Smokey-Kong
- Maître distillateur
- Messages : 2009
- Inscription : 21 nov. 2005, 22:44
Curieux ces appréciations si divergentes sur le Laphroaig Jean Boyer... Il va falloir en essayer une bouteille pour avoir l'esprit clair ; j'ai lu ici et là des commentaires très négatifs sur des bouteilles qui n'avait contre elles que d'être très différentes des standards du moment, on se laisse facilement influencer par une mode !
Slainthe
Smokey
Slainthe
Smokey
MMMMmmm, ça demande une re-dégustation tout ça !
Pour ce qui est de la bonification, ou dirait-on d’une petite période de repos propice au recouvrement de toutes ces qualités, je te fais entièrement confiance. . . .
On tachera d’en faire l’acquisition pour notre prochaine soirée Islay histoire de le soumettre ainsi à la vindicte populaire ! Vox populi vox dei. . .
Et en même temps, on lance la polémique ou l’épineux sujet des jeunes Whiskies !
Ça promet une soirée animée. . . . .
Et en passant, merci Régis !
Pour ce qui est de la bonification, ou dirait-on d’une petite période de repos propice au recouvrement de toutes ces qualités, je te fais entièrement confiance. . . .
On tachera d’en faire l’acquisition pour notre prochaine soirée Islay histoire de le soumettre ainsi à la vindicte populaire ! Vox populi vox dei. . .
Et en même temps, on lance la polémique ou l’épineux sujet des jeunes Whiskies !
Ça promet une soirée animée. . . . .
Et en passant, merci Régis !
Osez, usez et abusez. . . .
- Moi - 30 ans après moi !
- Moi - 30 ans après moi !
A vrai dire, je ne m'attendais pas à ce que ce produit devienne un objet de contradiction. Martine Nouet l'a dégusté, elle l'a trouvé tout à fait sain et loyal. Moi je l'aime bien aussi, c'est pour cela que je l'ai acheté et vendu... en trois semaines. Le fût était impeccable, très récent. Ce produit n'a que 8 ans et vaut largement les 30 euros et des poussières que les cavistes en demandent.
Je pense vraiment que ton commentaire et ta note sont injustes, même si tu ne l'a pas aimé, ce qui est ton droit.
Il ne nous en reste que les témoins de fabrication (les archives si tu veux). Je te propose de t'en renvoyer un sample pour le re-déguster.
Qu'en dis tu ?
Je pense vraiment que ton commentaire et ta note sont injustes, même si tu ne l'a pas aimé, ce qui est ton droit.
Il ne nous en reste que les témoins de fabrication (les archives si tu veux). Je te propose de t'en renvoyer un sample pour le re-déguster.
Qu'en dis tu ?
Il est vrai que ce sample ne m’a pas fait grande impression !
Cependant, il est vrai aussi pour un autre thème sujet à polémique, que ce sample revêtait forme en un vénérable flacon plastique !
Maintenant, est-ce que ce dérivé pétrochimique peut influencer le goût de notre noble breuvage ????????
Faudrait tenter le bon vieux flacon en verre !
Ou tester le flacon plastique sur d’autres Wiskies. . . . . .
Cependant, il est vrai aussi pour un autre thème sujet à polémique, que ce sample revêtait forme en un vénérable flacon plastique !
Maintenant, est-ce que ce dérivé pétrochimique peut influencer le goût de notre noble breuvage ????????
Faudrait tenter le bon vieux flacon en verre !
Ou tester le flacon plastique sur d’autres Wiskies. . . . . .
Osez, usez et abusez. . . .
- Moi - 30 ans après moi !
- Moi - 30 ans après moi !
Pour attiser le débat sur ce whisky, en voici mes commentaires, suite à la première dégustation : Le nez est tourbé et fumé et porte indubitablement la marque d'un Islay puissant. Suivent ensuite les agrumes et le caoutchouc brûlé, ce qui n'est pas désagréable car cela rehausse les agrumes. On en redemande tellement c'est beau. Puis à force d'en vouloir, il devient plus tourbé que fumé et ce, assez rapidement, en moins de 5 minutes. L'alcool prend lui aussi une place importante. En bouche et après ce nez flamboyant, il ne me reste plus que le citron léger sur un malt léger et une tourbe légère. La finale est très brève sur la réglisse et le goudron qui reste en bouche. 74/100.
Le fait est qu'après 10 minut'es d'aération, il n'en restait pas grand'chose.
Je n'ai pas pris de notes lors de mon deuxième essai, mais il s'était amélioré, notamment en bouche et en tenant mieux dans le temps son nez marqué.
Ma conclusion est que je le préfère quand même, et de loin, à l'Aberlour 16 ans, bien que je ne sois pas un fanatique des Islay.
Alain
Le fait est qu'après 10 minut'es d'aération, il n'en restait pas grand'chose.
Je n'ai pas pris de notes lors de mon deuxième essai, mais il s'était amélioré, notamment en bouche et en tenant mieux dans le temps son nez marqué.
Ma conclusion est que je le préfère quand même, et de loin, à l'Aberlour 16 ans, bien que je ne sois pas un fanatique des Islay.
Alain
On m'a toujours dit à l'école que le plastique était perméable à l'air ... Donc l'oxygène peut causer une oxydation de certains composés tels les aldéhydes en acides ou les alcools en aldéhydes. Mais je pense que le séjour du W a été trop court pour que les échanges gazeux soient significatifs et aient pu avoir une quelconque incidence sur sa qualité. Pour preuve, l'amélioration à la deuxième dégustation. Alors la question : Un w passé au shaker de la Poste peut-il changer ? Peut-il récupérer ses qualités après une période de repos ?Eliphas a écrit :Cependant, il est vrai aussi que ce sample revêtait forme en un vénérable flacon plastique !
Maintenant, est-ce que ce dérivé pétrochimique peut influencer le goût de notre noble breuvage ????????
Je te laisse essayer ...Eliphas a écrit :Ou tester le flacon plastique sur d’autres Whiskies. .
A la limite, je veux bien te passer de l'Aberlour 16 ans pour tes essais Alain
Un grand merci et bravo pour l’énorme travail d’Alain. . . .
http://www.comaw.fr/
Tout ça représente un immense travail. . . . . Chacun étant libre de s’exprimer comme il l’entend. . . .Vive la polémique !
Merci AMOR57
http://www.comaw.fr/
Tout ça représente un immense travail. . . . . Chacun étant libre de s’exprimer comme il l’entend. . . .Vive la polémique !
Merci AMOR57
Osez, usez et abusez. . . .
- Moi - 30 ans après moi !
- Moi - 30 ans après moi !
Je viens de faire un petit tour sur le site de nos amis Lorain, et je dois dire bravo!
Bien entendu je me suis d'abord orienté vers les flacons dégustés : j'ai d'abord été intrigué par ce Laphroaig 10 CS qui titre 45% (l'erreur est humaine...
).
J'adore le joli flacon du Springbank 10 ans DL
!
Slainte
Tony
Bien entendu je me suis d'abord orienté vers les flacons dégustés : j'ai d'abord été intrigué par ce Laphroaig 10 CS qui titre 45% (l'erreur est humaine...
).J'adore le joli flacon du Springbank 10 ans DL
!Slainte
Tony